lundi 23 janvier 2012

La fin de Gilles Duceppe est un sursis de la peine de mort pour Pauline Marois mais le Parti Québécois est toujours menacé de mort...



L'annonce par Gilles Duceppe de son non-retour en politique active suite au dévoilement d'un scandale de financement des activités de son ancien parti est une joie pour Stephen Harper et surtout un sursis de la condamnation à mort pour Pauline Marois.
Il est évident que la fuite des informations concernant le financement du Bloc est l'oeuvre de ses ennemis politiques dont on peut en nommer trois: Stephen Harper; Pauline Marois et ultimement Jean Charest. En éliminant Gilles Duceppe, Stephen Harper s'assure une sorte de sécurité au Québec face aux souverainistes et Jean Charest est pratiquement assuré d'une réélection libérale car il ne reste personne pour prendre une relève sérieuse de la chef péquiste qui est moribonde politiquement.
À suivre...

Photo 1: Stephen Harper, Gilles Duceppe et Pauline Marois;
Photo 2: Jean Charest et Stephen Harper ;
Voir analyse LA PRESSE
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